Etudier

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BIENVENUE DANS LA RUBRIQUE : ETUDE  AU CANADA 

Nous n’allons pas vous parler du processus sans vous donner quelques raisons qui prouvent que vous ne vous trompez pas en voulant étudier au Canada .

Pourquoi étudier au Canada :  Le Canada se classe régulièrement parmi les meilleurs pays au monde, et il est actuellement au premier rang pour ce qui est de la qualité de vie. Si vous étudiez au Canada, vous ferez des études reconnues à l’échelle internationale et côtoierez des enseignants et des universitaires parmi les plus éminents du monde.

Pourquoi choisir d’étudier au Québec  : Les frais de scolarité pour les étudiants internationaux et le coût de la vie au Québec sont parmi les plus bas en Amérique du Nord. Le Québec est reconnu comme étant une société juste, respectueuse, égalitaire, inclusive et démocratique. Le taux de criminalité de la province est parmi les plus bas en Amérique du Nord.

 L’ouverture d’esprit et l’internationalisation : Le Canada reçoit plus de 300 000 étudiants internationaux par an. Ils représentent, en moyenne, 8 % des effectifs dans les écoles et les universités. «C’est une richesse que de se retrouver pour des projets avec des étudiants venus de tous les continents. Chacun a sa manière de voir les choses», raconte Fanny Barret, en deuxième année de bachelor en psychologie à l’Université Bishop’s de Sherbrooke, l’une des institutions anglophones du Québec qui compte 15 % d’étudiants internationaux.

L’excellence académique: Avec quatre universités dans le top 100 du classement de Shanghai – Toronto (24e), Colombie-Britannique (37e), McGill (67e) et McMaster (90e) – les établissements canadiens sont bien dotés: le gouvernement a en outre annoncé, en avril 2015, un plan de 1,33 milliard de dollars canadiens d’investissement sur six ans pour bâtir une recherche de pointe. «L’Université de Montréal dispose, par exemple, de l’un des trois équipements les plus sophistiqués du monde pour étudier la diffraction des rayons X», indique Elodie Rousset, étudiante à l’Université Pierre-et-Marie-Curie, à Paris, qui vient d’y terminer sa thèse en chimie.

Le bouillonnement entrepreneurial
: Le Canada est une terre d’élection pour les startup. Plusieurs universités, dont Waterloo, dans l’Ontario, considérée comme l’une des plus innovantes, déploient des programmes et des incubateurs pour épauler les candidats à la création d’entreprise. «Mais au-delà, l’esprit entrepreneurial fait partie de notre culture. Cela fait plus de vingt ans que nous apprenons aux étudiants à prendre des risques», explique Normand Beaudry, responsable du recrutement des étudiants étrangers à l’Université Laval de Québec.

Des enseignants plus proches : Ici, le tutoiement entre enseignants et étudiants est de rigueur. La porte des bureaux reste toujours ouverte. La plupart des professeurs communiquent leur adresse mail, voire leur numéro de portable. «L’un de nos enseignants nous a même invités chez lui pour discuter du projet sur lequel nous travaillions avec plusieurs camarades!», s’étonne Salomé Gautier, en maîtrise sur les énergies propres à l’Université de Colombie-Britannique de Vancouver.

 Les étudiants encouragés : Les enseignants soutiennent leurs élèves en mettant l’accent sur les réussites et les progrès. Au niveau des masters, ils les incitent à publier, une possibilité inconnue en France. «La notion de plaisir d’apprendre est essentielle. Quand je suis arrivée à l’Université d’Ottawa en maîtrise de criminologie, j’ai vu mon directeur de mémoire pour définir mon sujet. Il m’a recommandé de travailler avant tout sur un thème qui m’intéressait», souligne Gabrielle Pilliat.

Des cursus pluridisciplinaires: «Au-delà des cours obligatoires dans notre discipline, nous avons la possibilité de choisir une mineure (NDLR: champ d’études secondaire) et de multiples options qui n’ont rien à avoir avec notre domaine d’études», insiste Mélanie Gallichet, en troisième année de bachelor en physique à l’Université McGill de Montréal. Elle a ainsi suivi une mineure en histoire et des cours sur l’économie des pays en développement.

De nombreuses passerelles: Au Canada, rien n’est jamais figé. Anne-Claire Gayet en a fait l’expérience: après deux ans en classe préparatoire et une licence d’histoire, elle était à la recherche d’un programme pour se réorienter. C’est à l’Université de Montréal qu’elle a trouvé la solution. «J’ai été admise en maîtrise d’études internationales, un cursus très large où j’ai notamment suivi une initiation au droit. Cela m’a permis de faire un stage au Conseil de l’Europe et au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.» Elle poursuit des études de droit, d’abord à l’Université de Montréal, puis à celle de McGill où elle décroche un diplôme pour devenir avocate.

Améliorer son niveau d’anglais: Progresser dans la langue de Shakespeare compte parmi les objectifs prioritaires des étudiants expatriés au Canada, y compris ceux dans les universités francophones. Toutes proposent des cours ou options en anglais tandis que la présence de nombreuses nationalités dans les salles de cours facilite également l’apprentissage. «Les progrès seront plus importants si on évite de ne fréquenter que des étudiants francophones!», recommande Julien Dieudonné, diplômé de HEC Montréal.

 Un marché du travail dynamique
: Faire des études au Canada ouvre les portes d’un bassin d’emploi dynamique, notamment pour les ingénieurs, les diplômés d’écoles de commerce et ceux qui s’orientent vers les Cégeps (collèges d’enseignement général et professionnel) du Québec ou les collèges dans les autres provinces préparant l’équivalent de BTS ou de DUT. «Les étudiants en génie mécanique ont, en moyenne, une dizaine d’offres d’emploi à la sortie. Et la plupart sont recrutés avant même la fin de leurs études», indique Denis Rousseau, directeur des études du Cégep de Trois-Rivières.

Un coût abordable : Les études au Canada sont payantes et les frais d’inscription varient selon le niveau d’études et les provinces (de 6 000 à 25 000 dollars canadiens, soit 4 200 à 18 000 euros par an). «Mais c’est quand même deux fois moins cher que des études aux États-Unis. De plus, il est possible d’avoir des bourses. Ici, par exemple, je suis payé pour faire mon mémoire de maîtrise, un travail de recherche qui intéresse l’université!», lance Alexandre Lecoanet, en Master of science génie chimique à l’Université de l’Alberta, venu à Edmonton dans le cadre d’un accord de double diplôme entre l’établissement et l’ENSIC (École nationale supérieure des industries chimiques) de Nancy.
Maintenant que nous vous avons donné un aperçu sur la vie estudiantine et les avantages au Canada , nous allons à présent vous donner plus de détails sur ce que CONSULCA pourra vous offrir ainsi que les frais qui s’y appliquent .

Vous devez premièrement savoir que nous ne représentons ni le gouvernement Canadien , ni les universités Canadiens ou encore les employeurs .

Consulca Immigration :   Nous sommes une entreprise spécialisée en immigration et naturalisation étrangères ( Canada , USA , Europe )  , dotée de plusieurs partenariats avec des consultants certifiés et travaillant au Barreau des avocats ,des investisseurs et micro finances, des agences de voyages et immobilières , des fondations de bourses d’études et département d’études universitaires ; notre entreprise offre à sa clientèle des moyens de suivi , support jusqu’à leurs entrée au Canada 

Possibilité de bourse d’étude :   Nous pouvons vous trouver des bourses d’études dans les universités ci-après :  University of Toronto,University of British Columbia ,McGill University,McMaster University University of Alberta,University of Montreal ,The University of Calgary ,University of Waterloo,Western University,University of Ottawa,Queen’s University,University of Guelph,Dalhousie University,Laval University,Simon Fraser University,University of Victoria, University of Saskatchewan,University of Manitoba,Concordia University ,York University . Il faut noter que la meilleure façon d’obtenir une bourse est d’avoir entre 18 et 29 ans dépendamment du niveau d’étude et aussi avoir une note minimale exigée , nous voyons cela après réception de vos documents académiques . 

Le Canada est l’un des meilleurs endroits pour poursuivre des études à l’étranger, avec ses universités de renom et ses programmes d’études de qualité. Si vous êtes intéressé par l’étude au Canada, vous êtes au bon endroit.

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